le petit étang
intérieur d'un tipi, plancher pin
tipi "version décapoté"
tipi sioux
tipis prés de la forêt
chaque tipi a un feu de camp
feu de veillée ou barbecue
veillée devant un feu de camp
repas sous la tente trappeur
la tente trappeur et un tipi
reflet des tipis dans l'étang
tepee éclairés
tipis sous la lune
le camp sous la lune
Baloo le terre neuve du camp devant le grand étang
les tipis surplombent les étangs
un trike sur le camp
nous hébergeons également vos chevaux
dans notre ranch western.
Le tipi : un habitat traditionnel très pointu
Le tipi est, de loin, la tente la plus populaire et la plus fascinante.
Le tipi est l'habitation des Indiens d’Amérique du Nord, en langage sioux, tipi signifie « pour habiter ».
Appelée aussi tepee, cette tente conique est traditionnellement la propriété des femmes amérindiennes. Ce sont elles qui les fabriquent, les montent et démontent ! Les hommes, eux, sont chargés de trouver le bois pour les perches. Les tipis sont toujours disposés en cercle dans les camps, l’entrée est tournée vers l'est, face au soleil levant.
Cette fameuse tente est constituée de grandes perches en bois, autrefois recouvertes de peaux de bisons. Le haut de la tente, toujours entrouvert, permet d’évacuer la fumée du feu, placé au centre de l’habitation. La particularité de ce lieu de vie est qu’il est très convivial, puisqu’on y vit en cercle, sans cloison et avec le strict minimum.
Le tepee est une habitation très confortable
Spacieux, frais en été et chaud en hiver, le tipi est une habitation résistante à tous les climats et procure un abri confortable adapté à toutes les saisons. Sa construction, bien que pouvant être réalisée par une seule personne si nécessaire, est bien plus complexe qu'il n'y parait et comporte un agencement et des techniques de ventilation très élaborées. Le tepee des indiens nomades des plaines de l'Ouest n'est pas un cône symétrique, mais penche vers l'arrière. Cela le rend plus résistant aux vents et lui donne une surface intérieure ovale qui permet de placer le foyer du feu en fonction de la position des rabats servant à l'évacuation de la fumée.
Sous sa forme simple, un ingénieux système de ventilation
La ventilation dans l'habitation est favorisée par la présence d'une doublure interne (un liner). La fonction principale du liner est d'isoler et d'empêcher les courants d'air à partir du sol jusqu'à la mi-hauteur du tipi, il forme aussi une sorte de cheminée circulaire dont la succion crée un déplacement d'air constant du bas vers le haut, entre les parois internes et externes du tepee.
Le ozan ,toile servant de toit, compléte le liner pour étanchéifier complétement l'intérieur du tipi
Pour le mobilier, une peau de bison ou d'ours étendue sur un sommier de joncs tressés faisait office de lit. Le reste, léger et facilement transportable, se composait de sacs en peau suspendus, de coffres à viande et de poteries. On couvrait le sol de fourrures posées sur des fougères sèches ou des aiguilles de pins censées absorber l’humidité.
Aujourd'hui, nos tipis sont munis de literie et d'un plancher en pin
La nourriture, les ustensiles de cuisine et les attelages des chevaux se posaient près de l'entrée.
La signification des décors peints sur les tipis
La partie inférieure du tipi représente souvent la terre.
La partie centrale illustre tout ce qui est lié à la vie humaine, comme les évènements importants. La partie supérieure exprime le ciel, la vie spirituelle et les esprits.
Côté symboles, les cercles représentent l'union, les zigzags l'orage et la foudre. Les lignes et les traits sont liés à la médecine.
En ce qui concerne l’utilisation des couleurs, leur signification est différente selon les tribus, mais bien souvent, le noir représente la nuit, le rouge l'aube du soleil levant, et le jaune le crépuscule.
Le tepee est devenu très populaire depuis la conquête de l'Ouest
En pénétrant dans un tepee, vous comprenez un peu mieux le monde de ces amérindiens dont les tribus hantent encore les prairies de l'Ouest; Sioux, Blackfeet, Crow, Cree, etc. La forme ronde du tepee symbolise l'harmonie, on la retrouve dans la coutume qu'ont les amérindiens de monter leurs tepees en cercle dans leurs villages, avec toutes leurs entrées tournées vers l'Est, face au soleil levant. Le tepee fait partie du folklore de la conquête de l'Ouest, au même titre que la ruée vers l'or, les cow-boys, la cavalerie, la winchester et le bison. Aujourd'hui, le tepee a retrouvé sa place, une place d'honneur dans le folklore de l'Ouest, mais également dans la vie de tous les jours. Il devient assez commun d'en voir un peu partout dans les régions de l'Ouest.
Le mot "tipi" est un mot sioux qui signifie "ils habitent". Le tipi est une tente de forme conique recouverte de peau de bison.
Le tipi a été d’abord un abri de chasse. Quand, grâce au cheval, les tribus des Plaines sont devenues nomades, le tipi est devenu l’habitation familiale.
Au printemps, les hommes coupaient de longues perches pour faire la charpente, douze à seize par tipi. Pour cela ils choisissaient des baliveaux bien droits dans des forêts où la tribu avait passé l’hiver. Ils préparaient les chevilles de bois, les piquets qui servaient à fixer les peaux. Ils devaient procurer aux femmes les grandes peaux de bison nécessaires à la couverture du tipi.
Les femmes tannaient les peaux et les enduisaient de graisse pour les rendre imperméables. Puis elles se réunissaient en ateliers dirigés par une femme expérimentée pour couper les peaux selon un patron très précis et les coudre solidement avec des tendons de bison. La couverture d’un tipi utilisait de douze à quatorze peaux. Elle ne pesait que quarante-cinq à cinquante kilos, le tannage indien donnant des peaux légères.
dans notre ranch western.
Le tipi : un habitat traditionnel très pointu
Le tipi est, de loin, la tente la plus populaire et la plus fascinante.
Le tipi est l'habitation des Indiens d’Amérique du Nord, en langage sioux, tipi signifie « pour habiter ».
Appelée aussi tepee, cette tente conique est traditionnellement la propriété des femmes amérindiennes. Ce sont elles qui les fabriquent, les montent et démontent ! Les hommes, eux, sont chargés de trouver le bois pour les perches. Les tipis sont toujours disposés en cercle dans les camps, l’entrée est tournée vers l'est, face au soleil levant.
Cette fameuse tente est constituée de grandes perches en bois, autrefois recouvertes de peaux de bisons. Le haut de la tente, toujours entrouvert, permet d’évacuer la fumée du feu, placé au centre de l’habitation. La particularité de ce lieu de vie est qu’il est très convivial, puisqu’on y vit en cercle, sans cloison et avec le strict minimum.
Le tepee est une habitation très confortable
Spacieux, frais en été et chaud en hiver, le tipi est une habitation résistante à tous les climats et procure un abri confortable adapté à toutes les saisons. Sa construction, bien que pouvant être réalisée par une seule personne si nécessaire, est bien plus complexe qu'il n'y parait et comporte un agencement et des techniques de ventilation très élaborées. Le tepee des indiens nomades des plaines de l'Ouest n'est pas un cône symétrique, mais penche vers l'arrière. Cela le rend plus résistant aux vents et lui donne une surface intérieure ovale qui permet de placer le foyer du feu en fonction de la position des rabats servant à l'évacuation de la fumée.
Sous sa forme simple, un ingénieux système de ventilation
La ventilation dans l'habitation est favorisée par la présence d'une doublure interne (un liner). La fonction principale du liner est d'isoler et d'empêcher les courants d'air à partir du sol jusqu'à la mi-hauteur du tipi, il forme aussi une sorte de cheminée circulaire dont la succion crée un déplacement d'air constant du bas vers le haut, entre les parois internes et externes du tepee.
Le ozan ,toile servant de toit, compléte le liner pour étanchéifier complétement l'intérieur du tipi
Pour le mobilier, une peau de bison ou d'ours étendue sur un sommier de joncs tressés faisait office de lit. Le reste, léger et facilement transportable, se composait de sacs en peau suspendus, de coffres à viande et de poteries. On couvrait le sol de fourrures posées sur des fougères sèches ou des aiguilles de pins censées absorber l’humidité.
Aujourd'hui, nos tipis sont munis de literie et d'un plancher en pin
La nourriture, les ustensiles de cuisine et les attelages des chevaux se posaient près de l'entrée.
La signification des décors peints sur les tipis
La partie inférieure du tipi représente souvent la terre.
La partie centrale illustre tout ce qui est lié à la vie humaine, comme les évènements importants. La partie supérieure exprime le ciel, la vie spirituelle et les esprits.
Côté symboles, les cercles représentent l'union, les zigzags l'orage et la foudre. Les lignes et les traits sont liés à la médecine.
En ce qui concerne l’utilisation des couleurs, leur signification est différente selon les tribus, mais bien souvent, le noir représente la nuit, le rouge l'aube du soleil levant, et le jaune le crépuscule.
Le tepee est devenu très populaire depuis la conquête de l'Ouest
En pénétrant dans un tepee, vous comprenez un peu mieux le monde de ces amérindiens dont les tribus hantent encore les prairies de l'Ouest; Sioux, Blackfeet, Crow, Cree, etc. La forme ronde du tepee symbolise l'harmonie, on la retrouve dans la coutume qu'ont les amérindiens de monter leurs tepees en cercle dans leurs villages, avec toutes leurs entrées tournées vers l'Est, face au soleil levant. Le tepee fait partie du folklore de la conquête de l'Ouest, au même titre que la ruée vers l'or, les cow-boys, la cavalerie, la winchester et le bison. Aujourd'hui, le tepee a retrouvé sa place, une place d'honneur dans le folklore de l'Ouest, mais également dans la vie de tous les jours. Il devient assez commun d'en voir un peu partout dans les régions de l'Ouest.
Le mot "tipi" est un mot sioux qui signifie "ils habitent". Le tipi est une tente de forme conique recouverte de peau de bison.
Le tipi a été d’abord un abri de chasse. Quand, grâce au cheval, les tribus des Plaines sont devenues nomades, le tipi est devenu l’habitation familiale.
Au printemps, les hommes coupaient de longues perches pour faire la charpente, douze à seize par tipi. Pour cela ils choisissaient des baliveaux bien droits dans des forêts où la tribu avait passé l’hiver. Ils préparaient les chevilles de bois, les piquets qui servaient à fixer les peaux. Ils devaient procurer aux femmes les grandes peaux de bison nécessaires à la couverture du tipi.
Les femmes tannaient les peaux et les enduisaient de graisse pour les rendre imperméables. Puis elles se réunissaient en ateliers dirigés par une femme expérimentée pour couper les peaux selon un patron très précis et les coudre solidement avec des tendons de bison. La couverture d’un tipi utilisait de douze à quatorze peaux. Elle ne pesait que quarante-cinq à cinquante kilos, le tannage indien donnant des peaux légères.
LÉGER ET CONFORTABLE
Le montage du tipi de taille moyenne ne demandait qu’une dizaine de minutes à trois femmes entraînées. On attachait les trois premières perches et on les dressait en trépied sur un sol plat. Les autres perches étaient appuyées sur l’attache et liées entre elles à l’aide d’une longue lanière qu’une femme faisait passer entre les extrémités des perches en la lançant. La couverture était dressée à l’aide d’une perche solide. A ce moment, l’assistance d’un homme de bonne volonté était souvent nécessaire. Les côtés de la couverture étaient alors dépliés et fermés à l’aide de chevilles de bois à l’avant au-dessus de la porte. La pose de ces chevilles était confiée à un enfant. A l’endroit où chaque perche reposait sur le sol, des piquets étaient solidement enfoncés pour fixer le bas du tipi qui, par mauvais temps, était calfeutré à l’aide de mottes d’herbe. Deux rabats de peaux encadraient l’ouverture au sommet, au-dessus de la croisée des perches. Manoeuvrées à l’aide de deux perches extérieures, elles servaient à fermer plus ou moins l’ouverture afin de régler le tirage du feu qui brûlait au centre, entouré de pierres. Le tipi et le foyer étaient si bien conçus qu’un feu relativement petit suffisait à rendre le tipi confortable.
En hiver, le bas du tipi était solidement fixé et calfeutré, mais aussi doublé à l’intérieur par un rideau tombant verticalement. Cette doublure avait l’avantage d’isoler le tipi du froid et de l’humidité et de ménager un espace de rangement pour les vêtements, couvertures et réserves de nourriture. Le sol était recouvert de peaux de bison. Dans les familles les mieux organisées, on dormait sur des couchettes en forme chaises longues faites de baguettes de saules tressées. En été, le bas du tipi était relevé pour permettre l’aération.
Au XIXè siècle, certains tipis familiaux étaient devenus si grands qu’ils devaient être montés et démontés par les hommes. Dans ce cas, un système d’étais venait renforcer les perches.
Le confort de la famille reposait sur l’habileté de ses chasseurs, mais surtout sur le travail et l’adresse des femmes.
George Catlin, qui visita les nations des Plaines dans les années 1830, indique que certaines tribus possédaient des cabanes en rondins dans les Black Hills dans lesquelles les familles passaient l’hiver plus confortablement que dans des tipis. Des "cabanes de chasse", des sortes de refuges, parsemaient le pays indien, permettant au voyageur de trouver un abri et de la nourriture.
En hiver, le bas du tipi était solidement fixé et calfeutré, mais aussi doublé à l’intérieur par un rideau tombant verticalement. Cette doublure avait l’avantage d’isoler le tipi du froid et de l’humidité et de ménager un espace de rangement pour les vêtements, couvertures et réserves de nourriture. Le sol était recouvert de peaux de bison. Dans les familles les mieux organisées, on dormait sur des couchettes en forme chaises longues faites de baguettes de saules tressées. En été, le bas du tipi était relevé pour permettre l’aération.
Au XIXè siècle, certains tipis familiaux étaient devenus si grands qu’ils devaient être montés et démontés par les hommes. Dans ce cas, un système d’étais venait renforcer les perches.
Le confort de la famille reposait sur l’habileté de ses chasseurs, mais surtout sur le travail et l’adresse des femmes.
George Catlin, qui visita les nations des Plaines dans les années 1830, indique que certaines tribus possédaient des cabanes en rondins dans les Black Hills dans lesquelles les familles passaient l’hiver plus confortablement que dans des tipis. Des "cabanes de chasse", des sortes de refuges, parsemaient le pays indien, permettant au voyageur de trouver un abri et de la nourriture.
UNE FORTE SYMBOLIQUE
Le tipi avait une forte signification symbolique. Alors que les tipis des Crows et des Blackfeet étaient uniformément blancs, ceux des Sioux et des Cheyennes étaient décorés de dessins symboliques peints par les hommes qui y représentaient leurs exploits. La partie basse figurant la terre portait un dessin évoquant les collines. La partie haute du cône représentait le ciel parfois parsemé d’étoiles, en particulier la croix rouge de l’étoile du matin.
Le tipi s’ouvrait à l’est, au soleil levant. Sa base circulaire représentait le cercle sacré du monde. Le point d’attache des perches était particulièrement sacré : il était le point où se rejoignent les forces de la nature, le symbole de leur unité, c’est-à-dire le Grand Esprit.
De nos jours, le tipi est toujours utilisé par les tribus des Plaines à l’occasion des pow-wows, des fêtes traditionnelles, des cérémonies.
Le tipi s’ouvrait à l’est, au soleil levant. Sa base circulaire représentait le cercle sacré du monde. Le point d’attache des perches était particulièrement sacré : il était le point où se rejoignent les forces de la nature, le symbole de leur unité, c’est-à-dire le Grand Esprit.
De nos jours, le tipi est toujours utilisé par les tribus des Plaines à l’occasion des pow-wows, des fêtes traditionnelles, des cérémonies.